Il est des mots pour tout mais il me manque ceux pour te dire combien j’aime imaginer ton sourire. Qu’il s’éveille avec toi le matin ou s’éteigne dans ton sommeil.
Je ne sais parler de l’émotion que je ressens, ni même lui donner un nom.
Elle est là, c’est la seule chose dont je sois sure et quand tu n’es plus là, elle perdure.
Je ne sais pas dire l’amour parce que tout le monde le dit. On aime à tort ou à raison, de travers, en silence, trop ou si peu. J’aurais peur de ne pas lui donner l’intensité qu’il mérite, la bonne couleur, au bon moment, à bon escient.
Je ne peux me contenter d’un « je t’aime » dont d’autres t’auraient déjà gratifié, peut-être en toute sincérité. Je veux qu’il sonne à ton oreille comme un son encore jamais entendu. Je veux qu’il te transperce comme le font les larmes. Je veux qu’il te fasse sourire, qu’il te pénètre, investisse tes entrailles et te laisse épuisé et heureux.
Les « je t’aime » que l’on dit ne sont pas toujours les mots que notre cœur dirait s’il pouvait parler.
Je voudrais pouvoir te dire un mot ou mille mais que ceux-ci te frappent, comme une douleur violente, comme un coma éthylique, comme une blessure, une maladie incurable. De plein fouet et à jamais.
Je ne veux te parler d’amour mais bien d’un autre sentiment dont la profondeur n’aura d’égale que mon envie de mourir si tu ne l’entends pas…
Le silence est mien. Je pense qu'il est mieux de le garder.
C’est en ne te disant pas « je t’aime » que tu le comprendras…
Je ne sais parler de l’émotion que je ressens, ni même lui donner un nom.
Elle est là, c’est la seule chose dont je sois sure et quand tu n’es plus là, elle perdure.
Je ne sais pas dire l’amour parce que tout le monde le dit. On aime à tort ou à raison, de travers, en silence, trop ou si peu. J’aurais peur de ne pas lui donner l’intensité qu’il mérite, la bonne couleur, au bon moment, à bon escient.
Je ne peux me contenter d’un « je t’aime » dont d’autres t’auraient déjà gratifié, peut-être en toute sincérité. Je veux qu’il sonne à ton oreille comme un son encore jamais entendu. Je veux qu’il te transperce comme le font les larmes. Je veux qu’il te fasse sourire, qu’il te pénètre, investisse tes entrailles et te laisse épuisé et heureux.
Les « je t’aime » que l’on dit ne sont pas toujours les mots que notre cœur dirait s’il pouvait parler.
Je voudrais pouvoir te dire un mot ou mille mais que ceux-ci te frappent, comme une douleur violente, comme un coma éthylique, comme une blessure, une maladie incurable. De plein fouet et à jamais.
Je ne veux te parler d’amour mais bien d’un autre sentiment dont la profondeur n’aura d’égale que mon envie de mourir si tu ne l’entends pas…
Le silence est mien. Je pense qu'il est mieux de le garder.
C’est en ne te disant pas « je t’aime » que tu le comprendras…
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